Non mais là, je crois que c'est assez clair. Passez votre chemin, il n'y a plus grand chose à voir.

Pourquoi se complique-t-on la vie à cause de broutilles ? Pourquoi rend-on parfois les choses si complexes alors que seulement quelques mots et un peu de franchise pourraient les rendre si simples ? Peut-être que je suis de temps en temps trop directe, que je dis facilement ce que je pense (enfin, j'essaye..) et que, par conséquent, je voudrais que tout le monde fasse la même chose envers moi. Mais là, non, force est de constater que toutes les personnes ne sont pas comme ça. Ou comme moi. http://srtapolyester.deviantart.com/ Bref, j'essaye de lui faire comprendre que j'aimerais parler sérieusement avec lui à propos de notre relation ("relation" = quelque chose de très flou qui n'est ni de l'amitié ni de l'amour) et que j'en ai surtout marre qu'il tourne en rond. Merde quoi, un peu de sérieux ! Ce n'est pas que j'envisage quoi que ce soit pour le moment avec lui mais c'est surtout que j'aimerais vraiment savoir à quoi m'en tenir. Rien de plus simple. Et pourtant, quand je lui pose la question directement, je reste sans réponse. Bravo. C'est quand même très fatiguant ce genre de situation. Parce que quand même, j'ai d'autres choses à faire que d'attendre perpétuellement que Monsieur se décide à me dire enfin ce qu'il veut. Non mais sans blague.

J'ai remis un peu de couleurs par ici... En fin de compte, je ne reverrai pas D. avant très longtemps. Je ne pourrais pas être à Paris quand il y sera. On ne se verra donc pas comme prévu. Tant pis, je n'ai qu'à me consoler en me disant qu'un garçon que je connais à peine veut se marier avec moi ! Oui, c'est fou, on peut le dire. Ou plutôt, c'est lui qui est fou. http://jesskajuice.deviantart.com/ Je me console donc en me disant que ce week-end, il fait super beau, et j'écoute en boucle l'album de Pravda. L'herbe est verte et le ciel est bleu, quelle belle combinaison. Hier, on était tous sur les terrasses et des lunettes de soleil se baladaient tranquillement dans les rues. Heu, non, des personnes avec des lunettes de soleil en fait. On était d'humeur légère et c'était bien. Tout simplement bien. Comme quoi, le bonheur est simple : elles, moi, une table en terrasse et un Coca. Et des rires aussi, il ne faut pas les oublier... J'ai envie d'un nouveau maillot de bain.

Parfois, il se passe des choses qu'on arrive pas à expliquer. Comme le fait que je sois venue au mois trois ou quatre fois sur ce blog depuis les dernières semaines et je ne n'aie rien réussi à écrire. C'est là que tu te dis qu'en fait, c'est peut être plus facile quand tout va mal. Et qu'à l'inverse, quand tout va bien, tu as l'impression de ne rien avoir à écrire parce que tout ce que se passe dans ta vie, tu n'arrives pas à mettre un mot dessus. http://juliekulie.com L'autre coup, j'ai eu une idée géniale pour fêter mon anniversaire. Parce que la pression familiale veut qu'un vingtième anniversaire, ça ne s'oublie pas. Et en plus, ça doit s'organiser six mois à l'avance. Je développerai peut être ça un autre jour. Et comme ça a un super gros rapport avec la musique, ça me fait penser qu'en ce moment, je suis dans ma période "revival des eighties". Du coup, je m'assome à coup de Cindy Lauper, de Siouxsie & the Banshees et de "Walk like an Egyptian" des Bangles, même si le titre de cette note a quand même une dimension beaucoup plus actuelle et ne sonne pas du tout pareil. Mais je les aime ces trois filles.

Je ne suis plus accro. Je suis totalement désintoxiquée. Heureuse de voir que le temps permet certaines choses qui semblaient relever du miracle. Et pourtant, c'est bien vrai. Peut être n'étais-je pas vraiment amoureuse. Ou peut être que le fait d'avoir passé plus d'un mois et demi sans avoir aucun contact avec lui m'a permis de passer à autre chose. Il était devenu comme un vague souvenir, à moitié heureux, à moitié malheureux. Parce qu'un nouveau blog permet de nouvelles choses, nous l'appeleront A. A. est donc celui qui a rythmé beaucoup de mes jours et de mes nuits durant cette année qui s'est écoulée. C'est souvent de lui dont je parlais. Ce garçon. De toute manière, je devais passer à autre chose, c'était vital. Je ne pouvais pas rester à espérer comme une conne et à vouloir le voler à sa copine. De nouvelles rencontres et un emploi du temps bien rempli ont contribué à me le faire oublier. Mais en partie seulement. Je vais le revoir bientôt, à sa demande. Et je vais pouvoir me tester. Au fond, ça me fait plaisir de le revoir. Contente que le fait de lui avoir parlé l'autre jour m'ait remis les idées en place. En effet, dans ma note du 11 février, je voulais lui rire au nez. Maintenant, je sais que c'est un garçon bien. http://gloria-aniela.deviantart.com/ Parce que tout n'est qu'un éternel recommencement, il y a aussi D. Qui est-il, celui là ? Celui dont je parlais dans mes deux précédentes notes. Guitariste et chanteur. Putain. J'ai fini par faire quelque chose de son numéro de portable. Comme quoi, la barrière de la langue n'était qu'une excuse bidon de ma part. Bref, affaire à suivre, je ne le revois que dans un mois environ (la barrière des kilomètres est elle, par contre, bien réelle).

Guess What ? I hate Valentine's Day. Bravo, encore une bonne intervention de mademoiselle moi-même ! Demain, nous l'aurons donc compris, c'est la Saint Valentin. Ca parait très con, mais si je dis ça, ce n'est pas vraiment par frustration, non non non, cette remarque vient du plus fond de mes entrailles... Tiens, mes parents, par exemple, n'ont jamais particulièrement célébré cette fête, préférant leur anniversaire de mariage ou celui de leur rencontre. J'me souviens, en primaire puis au collège, j'avais l'air d'un ovni quand on me demandait ce que mon père allait offrir à ma mère. "Ba rien, pourquoi ? Tes parents, ils ne s'aiment que le jour de la Saint Valentin ?". Et c'était à mon tour de regarder mes copains comme des ovnis et de considérer leurs parents comme des spécimens d'une autre espèce. Probablement que le jour où je serai avec quelqu'un pile pour ce jour là (en presque deux décennies d'existence, je n'ai jamais réussi à ce que ça tombe dessus, c'est comme la loterie ce genre de truc ...), je fêterai la Saint Valentin. Ou peut-être pas. Enfin ce sera sans doute histoire de. Mais je trouve ça dommage, je préfère offrir de petits cadeaux toute l'année à mon amoureux, que ce soit spontané. Je détesterais qu'on m'offre quelque chose en se s'entend obligé de le faire "parce que c'est la Saint Valentin et qu'au fond, on a l'impression de ne pas avoir le choix". Par contre, je ne suis pas contre les cadeaux toute l'année : à la Saint Valentin et aux autres jours, que les choses soient claires. http://poop-art.deviantart.com C'est pas le tout, j'ai une soirée crèpes ce soir. Je m'en retourne dans mes rêves où un très beau chanteur guitariste me prend dans ses bras... haaaa... Et là, tu te demandes quand même ce qui me prend. Mais ces petits songes sont parfaits. Oui, je me fais des films, dans ma tête, et je m'en contente très bien. Parce qu'on ne parle pas la même langue (ok, je me cherche des excuses), et qu'il habite loin. J'ai son numéro de portable. Ok, ça fait un peu trop groupie (deuxième fois que j'emploie ce mot en l'espace de deux notes, il va falloir que l'on me surveille). Comme je dis souvent, cela doit être du au "syndrome guitare" (ou piano, ou basse, au choix !). Autrement dit : prenez un garçon pas trop mal, mettez lui une guitare dans les mains (ou mettez le devant un piano) et voilà, à mes yeux, il devient splendide et je craque. Bravo, c'est malin.

Pourquoi quelque chose de nouveau ? Parce que. Tout nouveau tout beau pour pouvoir recommencer les choses à zéro. Je crois que cette raison est assez valable. J'avais terminé le 22 janvier sur une note assez pessimiste, maintenant, je prends les choses en mains ! Pourquoi "Sunday Girl" ? Sans doute à cause de cette chanson de Blondie que je n'arrête pas d'écouter en ce moment. C'est même certain. C'était soit Sunday Girl soit Heart of Glass. J'ai opté pour la première possibilité. http://rooze.deviantart.com Les guitaristes et les chanteurs me montent à la tête. Il va falloir que je fasse très très attention de ne pas tomber amoureuse à tous les concerts auxquels j'assiste. Oh et puis tant pis, du moment que je m'amuse. C'est peut être comme ça que l'on devient groupie. En tout cas, le joli garçon du groupe qui a joué hier soir... Bref, n'en parlons plus, l'important, c'est d'avoir réussi à oublier l'autre. Oui, je t'ai oublié, tu ne me fais plus aucun effet. Peut-être même que le jour où je te recroiserai, je te rirai au nez. Ou peut-être pas. Mais ce sera tout comme. Ce qui me fait légèrement penser à une chanson de Shivaree "Someday, you'll want me like I want you but I'll be gone with somebody new ...".